Le Groupe ACPPA, organisme gestionnaire privé à but non lucratif, développe une mission globale en faveur des ainés dans l’objectif de préserver leur autonomie et de favoriser leur bien-être. Aujourd’hui l’ACPPA gère 42 Ehpad et 6 résidences autonomies pour un total de près de 4000 bénéficiaires en institution.

Le Groupe ACPPA œuvre tout particulièrement à travers son projet Alim Demar au mieux-être des résidents accueillis en luttant contre la dénutrition, en préservant le plaisir à table, en adaptant les préparations culinaires à tous les types de textures adaptées moulinées, mixées, gélifiées.

Le A de DEMAR …..Adapter : les textures modifiées dans le Groupe ACPPA

Depuis plus de 5 ans, Senes Solutions est un partenaire actif du Groupe, apportant son expertise pour la formation des chefs de cuisine à la fabrication des repas en texture mixée.

L’objectif de ces formations est de transmettre la compréhension de la problématique des textures modifiées pour l’adaptation des menus.

Le plus de cet accompagnement réside en des formations en petits groupes sur un plateau technique dédié permettant de réaliser de nombreuses mises en pratique de recettes et encadrée par un formateur ayant une solide expertise culinaire.

Les résultats sont à la hauteur de l’investissement des équipes de cuisine : des « cuisinants » fiers d’apprendre de nouvelles techniques pour améliorer la préparation et l’adaptation des repas. Au bout de la chaine : le plaisir des résidents, satisfaits de retrouver des couleurs dans leurs assiettes et le gout d’une salade de tomate en texture mixée, un bœuf bourguignon ou une tarte au citron ….

Les équipes médicales partagent ces résultats : une dénutrition en baisse, une meilleure appétence et des repas enrichis systématiquement par des produits texturants riches en protéine végétale (www.senes-solutions.com).

Durant la semaine de la dénutrition en novembre dernier, un challenge a animé les équipes de cuisine : « le goûter presque parfait ». Proposer à tous les résidents un même gouter (tant en texture normale qu’en texture modifiée) avec un dressage quasi identique entre les deux textures …..Pari gagné !

Notre partenariat se poursuit aujourd’hui sur une innovation venue du terrain. Comment redonner à des résidents aux troubles de la déglutition sévère et ne pouvant plus absorber du liquide le plaisir d’un verre de café, d’une tasse de chocolat chaud. Ce projet a pris forme grâce à l’équipe scientifique de Senes Solutions qui a conçu un gélifiant pouvant s’adapter aux liquides chauds. Des résidents ont pu tester de nouveau un petit déjeuner avec un « vrai » bol de café (certes épais de grade 3 mais qui sent bon le café), du jus d’orange. Le sourire de ces résidents « non communicants » était la plus belle des récompenses pour l’ensemble des acteurs.

Dr Catherine ALVAN Directrice médicale du Groupe ACPPA


 

 

 

 

Le fromage, produit laitier source de calcium et de protéines entre autres, est un aliment de tradition fortement apprécié de la personne âgée. Toutefois, on constate qu’il est peu proposé en texture modifiée au moment des repas souvent remplacé par des préparations fromagères industrielles. Senes Solution vous propose deux recettes pour agrémenter vos menus avec des fromages de nos régions en texture mixée ou en manger-mains.

 

 

 

 

MANGER-MAINS :

Temps de préparation : 10 minutes

Temps de cuisson : /

Ingrédients pour 10 convives :

  • 0,150 kg de fromages de nos régions au choix (camembert, brie, fromage de chèvre, comté,….)
  • 0,200 litre de lait
  • 0,025 Kg poudre de lait
  • 0,003 kg de Bouchées Gourmandes Senes Solution

Progression de la recette

  1. Mixer le fromage à l’aide d’un Blixer.
  2. Porter à ébullition dans une casserole le lait et Bouchées gourmandes.
  3. Ajouter la poudre de lait
  4. Verser l’appareil sur le fromage mixé et bien émulsionner.
  5. Mouler selon la forme du fromage utilisé
  6. Refroidir en cellule immédiatement.
  7. Dresser à l’assiette une portion de 30/40g.

Valeurs nutritionnelles pour 1 portion de 38 g : Énergie : 73,8 kcal /307,5 kjoules – Matières grasses : 5,1 g dont 3,9 g d’AGS – Glucides :  3,5 g dont 1,9 g de sucres – Fibres :  – g – Protéines : 4,9 g – Sel : 0,3 g – Calcium : 50,7 mg – Vitamine D : 0 µg.

Coût moyen par convive : 0,16 €  

 

TEXTURE MIXEE :

Temps de préparation : 10 minutes

Temps de cuisson : /

Ingrédients pour 10 convives :

  • 0,225 kg de fromages de nos régions au choix (camembert, brie, fromage de chèvre, comté,….)
  • 0,225 litre de lait
  • 0,025 Kg poudre de lait
  • 0,005 kg de Nutrifruix Senes Solution

Progression de la recette

  1. Mixer le fromage à l’aide d’un Blixer.
  2. Chauffer le lait et la poudre de lait à 63°C
  3. Ajouter le Nutrifruix
  4. Verser l’appareil sur le fromage mixé et bien émulsionner.
  5. Mettre en poche et refroidir en cellule
  6. Dresser en verrine.

Valeurs nutritionnelles pour 1 portion de 48 g : Énergie : 101,7 kcal /423,6 kjoules – Matières grasses : 7,3 g dont 4,5 g d’AGS – Glucides :  2,5 g dont 2,3 g de sucres – Fibres :  0,1 g – Protéines : 6,7 g – Sel : 0,5 g – Calcium : 53,5 mg – Vitamine D : 0 µg.

Coût moyen par convive : 0,24 € 


Faites manger du fruit frais autrement grâce à Nutrifruix de Senes Solutions. Vous connaissiez le jus ou les compotes de fruits frais. Pour l’été, nous vous proposons de réaliser vos granités de fruits frais « maison ». Une belle recette riche en vitamine C, très rafraîchissante et hydratante à proposer en collation.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Temps de préparation : 10 minutes

Temps de cuisson : aucun

Ingrédients pour 10 convives :

  • 900 gr de pêches blanches
  • 12 gr de Nutrifruix Senes Solutions

 Progression de la recette

  1. Monder et dénoyauter les pêches blanches pour récupérer 70 g de chair
  2. Mixer cette chair avec le Nutrifruix afin d’obtenir une purée fine
  3. Entreposer le mélange dans un bac GN et passer en cellule négative à -20°C pendant 1 h
  4. Réserver au congélateur jusqu’au moment du service
  5. Gratter le mélange et le dresser en coupelle à l’aide d’une cuillère à glace
  6. Servir bien froid

 

Info recette : Cette recette peut être réalisée avec tous les fruits de saison. Vous pouvez agrémenter ce granité avec un sirop pour lui donner de l’originalité (pêche/verveine, melon/orgeat, pastèque/sirop de fraise,….

Coût moyen par convive : 0,23 € 


Positionnement du « domicile » comme premier choix des personnes âgées et des pouvoirs publics, résidents de plus en plus dépendants… Des évolutions qui doivent amener les Ehpad à devenir le coeur de plateformes de services de proximité, tout en renforçant leur médicalisation, ont expliqué Geneviève Gueydan, directrice générale de la CNSA, Sophie Boissard, directrice générale de Korian, et Albert Lautman, directeur général de la Mutualité française, aux assises des Ehpad.

Passer de la théorie, très partagée, de l’évolution des missions des Ehpad dans les années à venir, à la pratique. C’est un peu ce à quoi ont encouragé les intervenants de cette table ronde des assises des Ehpad, consacrée précisément à l’avenir de ces établissements, le 23 mars.

En préambule, Geneviève Gueydan a rappelé l’arrivée des baby-boomers au grand âge à partir de 2025-2030. Il y a donc des « perspectives pour les Ehpad », a-t-elle estimé, soulignant que le nombre de places avait doublé « entre 2006 et 2016 ».

Convenant que l’on était actuellement « dans une phase de stabilisation par rapport aux grands plans de création » -en clair, les créations de places se font beaucoup plus rares-, elle a expliqué que la question se posera donc à nouveau, « mais pas de façon mécanique ».

« Les Ehpad devront -et c’est déjà le cas aujourd’hui- se positionner dans une organisation territoriale, un continuum d’accompagnement, de soins, sur un territoire avec des coopérations à développer », a-t-elle résumé. Ils « évolueront comme des plateformes techniques, des lieux de ressources, pour faciliter le maintien à domicile et être des ressources pour le répit et le soutien aux aidants », a précisé la directrice générale de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA). « C’est une réalité qui émerge aux quatre coins du territoire », a-t-elle ajouté.

S’appuyant sur l’expérience de Korian, présent dans quatre pays européens, Sophie Boissard a assuré qu' »en Belgique ou en Allemagne, il n’y a pas une maison de retraite médicalisée qui n’ait pas, à proximité, sa résidence services avec toujours un accueil de jour » et une plateforme de soins à domicile. « C’est vers cela qu’il faut aller », a-t-elle encouragé.

 

Le casse-tête de l’accueil de jour

Sauf que l' »on reste toujours bloqué » en France par « les différents canaux de financement, et la prise en charge, l’articulation, entre le médico-social d’un côté, et le financement des soins sur lesquels on émarge à des enveloppes et des référentiels très différents. En particulier entre médecine de ville, financement des maisons de retraite médicalisées et soins à domicile, on est toujours en train de se confronter à des angles morts », a-t-elle déploré.

Et elle a cité, pour illustrer, les problèmes d’accès aux accueils de jour: « On est confronté à cette question du transport [pour les personnes âgées qui souhaitent s’y rendre]. Il n’y a aucun problème pour payer du transport sanitaire pour aller faire n’importe quelle consultation dans n’importe quel hôpital, toutes les compagnies de taxis en vivent, mais en revanche pour accompagner une personne âgée fragilisée régulièrement dans un accueil de jour dans un Ehpad, alors là, il n’y a rien, il n’y a plus personne, ce n’est pas possible ! », s’est-elle exclamé.

« Le point auquel on se heurte, c’est qu’aujourd’hui les modèles de financement n’existent pas et il faut vraiment faire preuve d’inventivité en termes d’ingénierie de financement », a-t-elle insisté. « Mais je suis optimiste car la négociation des CPOM [contrats pluriannuels d’objectifs et de moyens] va nous aider à aller dans cette direction », a-t-elle néanmoins assuré.

De son côté, le directeur général de la Mutualité française, Albert Lautman, a souligné lui aussi l’importance de ce qu’il a appelé « l’Ehpad hors les murs » qui permet de répondre aux besoins des personnes âgées d’un territoire tout en complétant « l’offre de services » de ces établissements.

Soulignant la force de la Mutualité, présente sur les champs sanitaire et médico-social avec toute la palette de prises en charge, il a expliqué avoir de nombreux projets en ce sens, comme « en Isère » ou « en Anjou-Mayenne où nous sommes en train de travailler concrètement sur comment l’Ehpad peut être une plateforme de services pour les personnes âgées isolées sur un territoire ».

« On est au début de cette réflexion-là », a-t-il précisé, souscrivant aux « problèmes de financement » évoqués par Sophie Boissard.

Il a cité aussi un exemple, à Montpellier, d’un pôle constitué d' »une crèche, une résidence autonomie et un Ehpad et où on peut développer des services -sans avoir de problèmes de transport- de prévention, ou d’activité physique adaptée » par exemple.

 

Davantage de soin, mais « du soin caché »

L’autre enjeu des Ehpad pour les années à venir sont « la qualité et l’adaptation des prises en charge » avec « la fragilité, les polypathologies, les atteintes cognitives, et donc l’accueil des personnes plus dépendantes, mais avec des formes de dépendances plus diversifiées », a résumé Geneviève Gueydan.

« On ne peut pas faire du standard dans les réponses », a-t-elle estimé, interrogeant sur la manière dont « on garantit à la fois une très bonne organisation des soins, cohérente autour des personnes -et encore aujourd’hui on a du chemin à parcourir en la matière-« , dans des établissements qui doivent rester « des lieux de vie », soucieux du « bien-être des personnes » et de « l’entretien de leurs capacités ».

La directrice générale de Korian, Sophie Boissard, a renchéri: « Dans nos maisons, on voit tendanciellement le niveau de dépendance progresser; aujourd’hui, ce sont 74% des personnes accueillies en maison de retraite qui sont GIR 1 et 2, et […] nous estimons que, dans notre réseau, 40% à 50% des personnes accueillies ont des troubles cognitifs« .

« Cela veut dire qu’en termes de prise en charge, de formation, de soutien médical et en termes d’agencement de nos lieux, il faut d’abord et avant tout adapter notre parc à cette situation de grande dépendance », a-t-elle poursuivi.

« Et j’ai deux préoccupations: la première, c’est d’avoir le soutien médical qui va bien », mais pas pour « faire des Ehpad de quasi-hôpitaux ». « Il faut du soin, mais du soin caché », a-t-elle résumé.

« Nous, notre enjeu c’est d’avoir les médecins coordonnateurs […]. Un tiers de nos médecins ont plus de 55 ans… », a-t-elle expliqué, assurant que la démographie des généralistes était « aujourd’hui le sujet qu’on doit poser collectivement sur la table et pour lequel on doit trouver des solutions ».

Sa « deuxième préoccupation », c’est « le personnel des Ehpad ». « On a besoin de plus de temps de présence auprès des résidents. Mais comment je m’organise pour être capable de former et de soutenir, en proximité, au quotidien, les équipes de mes établissements ? », a-t-elle interrogé.

« A l’échelle du groupe » Korian, « on a les moyens de commencer à s’organiser pour faire ça, avec une ‘académie' » et la généralisation du e-learning, a-t-elle précisé.

 

Les défaillances de l’OPCA de branche

« Mais aujourd’hui, on n’est pas du tout gréé, à l’échelle de la branche, pour apporter en profondeur et en régularité, la formation. C’est vraiment quelque chose qui doit nous mobiliser tous ! », a-t-elle appelé.

« On a construit chez Korian un passeport gériatrique’« , avec « les composantes de savoirs que chaque soignant et chaque membre de l’équipe doit avoir, notamment sur les troubles cognitifs. Aujourd’hui, l’organisme de formation de la branche n’est pas prêt à contribuer au financement de ce passeport gériatrique ! C’est quand même une histoire de fou ! », a-t-elle tempêté. L’organisme paritaire collecteur agréé (OPCA) de la branche de l’hospitalisation privée, dont dépendent les Ehpad commerciaux, est Actalians.

« L’Ehpad lieu de grande dépendance, c’est un phénomène qu’on constate et qui est irréversible, c’est le sens de l’histoire. Il faut qu’on s’adapte à cette réalité », a confirmé de son côté Albert Lautman.

Il a aussi souligné la nécessité de s’adapter à de nouveaux publics, comme les personnes handicapées vieillissantes. « Le public des migrants dépendants est […] aussi un public auquel on n’est pas forcément habitué, car la diversité sociologique dans nos structures n’est pas toujours très forte », a-t-il ajouté.

« Mais quels progrès médicaux est-on capable de faire dans les 20 prochaines années sur la prise en charge de la maladie d’Alzheimer ? On a fait des progrès énormes dans la compréhension des mécanismes de la maladie, pas beaucoup dans le traitement… Si, dans les 20 ou 25 années qui viennent, il y avait des progrès significatifs, cela changerait complètement la vision qu’on peut partager sur l’avenir des Ehpad », a-t-il néanmoins prévenu…

Valérie Lespez

Journaliste

valerie.lespez@gerontonews.com

source : http://www.gerontonews.com/l-Ehpad-du-futur-entre-soins-accrus-et-services-de-proximite-NS_CZ3ONKKAI.html 


La salade de tomates

La tomate, comme l’a si bien précisé Christophe Lavelle est un fruit pour les botanistes et un légume dans le langage courant, riche en caroténoïdes mais pas seulement ! Le Beta-Carotène (840μg/100g), présent dans la tomate est un précurseur de la vitamine À. Il est vrai que la tomate contient moitié moins de Beta-Carotène que l’abricot ou 10 fois moins que le jus de carottes, cependant la fréquence de consommation (tout au long du printemps et de l’été selon les régions !) et la variété des tomates retrouvées, permet un apport très satisfaisant. Source de potassium, il intervient dans le maintien du volume cellulaire, l’activité enzymatique, la transmission de l’influx nerveux, et la régulation du pH sanguin et de vitamine C. Elle est riche en eau et donc participe à notre hydratation. Fraîchement coupée ou présentée mixée en tranches, profitez et mangez de la tomate à volonté ! Attention toutefois, la tomate peut être inappropriée en cas d’aphtes, de mycoses buccales, de traitement ORL avec intervention chirurgicale.

Kcal Kjoules Protides Lipides Glucides
VALEUR NUTRITIONNELLE pour 1 portion soit 100g 35 215 0.9g 2.5g 2.2g

La science au service des cuisiniers

Nous retrouvons ce mois-ci une texturation «classique» à l’aide de la carraghénane iota, déjà utilisée plusieurs fois dans cette rubrique. Les tomates (fraiches… ou en conserve, car ce n’est pas encore tout à fait la saison) sont mixées avec l’assaisonnement et un peu de matière grasse (pour enrichir la préparation). La pasteurisation à 80°C permet la bonne dissolution de la carraghénane, assurant une bonne prise du gel lors du refroidissement de la préparation. Puisque le procédé est maintenant bien connu de nos lecteurs, profitons de cette recette pour aborder un autre point, souvent discuté dans la littérature: le lycopène, dont la tomate est particulièrement riche (tout comme la pastèque). Il s’agit d’un pigment qui appartient à la famille des caroténoïdes (la même famille qui donne leur belle couleur orange aux carottes et aux saumons; souvenez-vous des recettes du mois d’avril et mai). Non content de donner à nos tomates cette éclatante robe rouge qui participe assurément à leur succès sur nos assiettes, le lycopène aurait en outre des vertus anticancéreuses, et apporterait une protection contre le cancer de la prostate. J’utilise volontairement le conditionnel, car comme bien souvent en matière de nutrition, il y a un monde entre les allégations véhiculées par les médias, souvent avides d’avis tranchés (sans parler des informations relayées sur les sites internet vendant des compléments alimentaires…) et la littérature scientifique, aux propos généralement beaucoup plus mesurés. Ceci étant, comme il n’y a aucune contre-indication documentée sur le lycopène, n’hésitons pas à manger des tomates en abondance: au mieux, nous préserverons notre prostate (d’autant que la biodisponibilité du lycopène est favorisée par la cuisson des tomates et la présence de matières grasses : on a tout bon dans notre recette), au pire… nous mangerons des tomates !

BASE

  1. Mixer les tomates avec le concentré de tomate et l’huile de colza. Ajouter le sel et le poivre
  2. Ajouter la Iota.
  3. Thermosceller et pasteuriser à 80°C pendant 20 minutes.
  4. Refroidissement rapide.
  5. Tailler la préparation et dresser harmonieusement.
  6. Réaliser une vinaigrette à base d’huile d’olive et de basilic.
NATURE UNITE BASE Total
BASE
Tomates Kg 1.300 1.300
Huile de colza L 0.030
Sel Kg 0.013
Poivre Kg 0.001
Iota Kg 0.020
Concentré de tomate Kg 0.040
VINAIGRETTE
Huile d’olive L 0.250
Echalotes Kg 0.100
Basilic Kg 0.060

 

N° 280 – CUISINE COLLECTIVE PAGE 28 AVRIL 2015